Cela fait plus de cinq mois que les vétérinaires pilotes testent l’app PHIS en conditions réelles. Leurs commentaires ont une influence directe sur la suite de son développement, car en fin de compte, il faut que l’app convainque par sa convivialité et facilite véritablement le travail de l’utilisateur.

Le magazine «spirit biel/bienne», publication des disciplines techniques de la Haute école spécialisée bernoise (BFH), a consacré son numéro d’octobre dernier à «L’avenir numérique». Se référant à plusieurs exemples concrets, ce numéro montre comment la BFH utilise et encourage les technologies numériques et comment la numérisation transforme nos vies. L’un des exemples retenus est le PHIS.

Ces dernières semaines, le projet PHIS a été présenté pour la première fois à un public vétérinaire un peu élargi. Lors de la réunion de la Société des vétérinaires bernois consacrée à l’avenir de la santé des animaux de rente, des informations ont été fournies non seulement sur l’état actuel du projet, mais aussi sur ses contours et ses objectifs futurs. Il est apparu qu’il y aurait également un intérêt pour un système comparable avec une application du même genre pour le suivi des troupeaux en médecine des veaux et des volailles.